Malidev

Il n’est pas questions de remettre à demain les reformes vitales pour le Mali : relecture de la constitution, de la loi électorale et création de l’organe unique pour les élections. Nous les maliens soutenons les autorités de la transition dans leur combat pour un nouveau mali et leur demandons de tout faire pour que les institutions nécessaires à l’indépendance et à la stabilité de notre pays soient installées.

  La continentalité du Mali est certes un obstacle à l’accès aux marchés extérieurs, mais sa centralité en Afrique occidentale aussi est un atout. Le Mali avec toutes ses terres cultivables, ses ressources minières et sa diversité culturelle est un pays gâté par le bon dieu, si nous pouvons exploiter cette situation en tenant compte du fait que chaque cfa dépensé pour importé un produit ou un service est un manque à gagner pour l’accès au travail des jeunes maliens. Nous pouvons faire en sorte, d’importer le moins possible en produisant sur place. Si nous arrivons, nous dicterons nos lois à la CEDEAO.

  Le Mali face aux sanctions de la CEDEAO Voilà nous y sommes, nous sommes sanctionnés, c’était imparable tant qu’on ne permettait pas aux responsables de la faillite de notre pays de reconstruire les conditions de la continuation de la gabegie. Tout le monde a compris que les élections dans la précipitation, sans reconstruire les institutions, ne visaient qu’à donner satisfaction à ceux qui était engagés auprès de l’ancien colonisateur pour garder le Mali sous contrôle. L’ancien maître utilise au moins 3 techniques pour s’assurer notre contrôle : La désinformation : par exemple les manifestations qui réunissent des milliers de personnes sont présentées en evitant soigneusement de lui sa véritable importance. Que celles réunissant 2 tondus et 3 pelés sont vues comme des manifestations majeure pour le pays. s sont présentées dans des contextes tels qu’elles disent le contraire de ce qui s’est passé. Les fausses démocraties : On prétend que les pays sont démocr

  Un jouet pour l es enfants La peur a toujours été mauvaise conseillère : un de nos proverbe s dit : « La chose effrayante qui ne cesse de fai re peur de jour comme de nuit, finit par être un jouet pour les enfants » D epuis quelque temps les maliens ont peur des sanctions qui pourraient venir de la CEDEAO, dans le cas où les autorités de la transition n’ y mett r aient pas un terme au plus tard fin février 2022, en or ganisant des élections. La majorité des citoyens du Mali a peur mais voudrait une révolution qui aboutirait à Mali kura, un Mali reconstruit, avec des institutions fortes plus adaptées à notre société multiséculaire qui l ui permettront d’être à l’abri de perturbations du genre de celles que nous connaissons en ce moment et pour longtemps. Ce pendant c ertains, majoritairement, les responsables du régime défunt et leurs alliés , les inconditionnels de la démocratie apparente ont peut être plus peur que les autres et s’agitent pour

Appel à la création du mouvement Nous Maliens Tout est lié, la corruption, le népotisme, les pots de vin, les excès pour les amis et les familles, tous des conséquences inéluctables pour une société dont les responsables et ensuite les membres n’honorent plus leurs lois, règlements, coutumes et usages. Une telle communauté voit tous ses plans s’étirer en longueur, l’éducation, la culture reculer, l’injustice devenir la norme et les inégalités se creuser. Notre pays, le Mali éternel, traverse une période particulièrement difficile et donne l’impression de progresser trop lentement. Notre prise de conscience et notre réel rassemblement autour du Mali de nos rêves, en respectant ses textes( règles et coutumes de la société, lois et règlements de la république), permettront aux maliens de demain, préparés à comprendre le monde dans lequel ils vivent, d’être fiers de leur pays et d’y vivre heureux en paix et en sécurité. .Où en sommes nous ? Notre pays, depuis l’indépendance

Vive le Mali éternel uni  libre  et laïc